par Fidel Ayu Lumeya
Toute société ou collectivité confrontée à des crimes et des conflits a l’obligation de les affronter directement pour les éradiquer plutôt que de les ignorer. Il existe de nombreuses façons de répondre aux crimes et toute société doit faire un choix.
Ces choix varient entre ce que Zehr (1998) a appelé les trois “R” de la justice: réparatrice, punitive ou de vengeance. De nombreux pays à travers le monde ont choisi la vengeance et le châtiment comme forme dominante de la justice légale en réponse à la criminalité auxquels ils sont confrontés.
La conséquence d’un tel choix est que, selon de nombreuses études récentes sur le système judiciaire moderne, la population carcérale se développe rapidement au lieu de diminuer.
Cet article explore la sagesse de la société traditionnelle africaine, avant la période coloniale et la façon dont les africains traitaient les victimes de l’injustice, les délinquants et la collectivité tout entière.
Les valeurs de la justice réparatrice qui les ont conduits à choisir entre la justice réparatrice, punitive et la vengeance comme modèle de justice (2), ce qu’ils avaient à l’esprit pour atteindre en choisissant la justice réparatrice, ses objectifs
http://cacpdusa.org/blog/2010/05/quelle-justice-pour-resoudre-la-question-des-femmes-et-filles-violees-de-l%E2%80%99est-du-congo-la-justice-reparatrice-2/